Pour moi, le style masculin doit s'adapter à la vie de l'homme : son état de conscience, son âge, sa carrière et son quotidien. Je vois la mode comme une extension naturelle de notre évolution personnelle. C'est pourquoi ma vision est avant tout pratique, basée sur mes propres besoins vestimentaires.
Que ce soit au printemps ou en été, je perçois un style décontracté qui s'adapte aux régions sèches. Un homme ou un jeune homme entre 18 et 45 ans peut s'habiller simplement : un T-shirt, un short, un gilet coupe-vent ou un pantalon. Un style similaire peut être adopté par des hommes plus âgés, avec des couleurs plus sombres, qui correspondent à l'évolution de leur âge.
Pour les saisons plus froides (automne/hiver) ou les régions humides, je vois des tenues plus chaudes et confortables, comme des T-shirts à manches longues, des pulls, des joggings, des blousons et des vestes décontractées. Mon objectif est de promouvoir un style qui permet de vivre son évolution personnelle le plus sereinement possible.
Au-delà du style décontracté, je porte une attention particulière à la confection sur mesure pour les occasions spéciales ou à partir de l'âge adulte (45 ans et plus). Pour moi, c'est là que la mode devient un art.
La haute couture offre la possibilité de construire une relation avec son couturier. On peut choisir des couleurs, s'inspirer de cultures ou de stylistes, et créer des œuvres vestimentaires uniques. Cette approche permet de créer une pièce qui est en parfaite harmonie avec un état de conscience stable et en constante évolution avec le temps.
Ma vision de la mode pour homme est personnelle. Elle découle de mon propre regard et de l'engouement et de la ferveur que la mode me procure.

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Le vêtement est bien plus qu’un simple tissu. Pour l'homme, le style est un miroir de son évolution, de son époque et de son appartenance. Qu'il s'agisse d'un simple t-shirt, d'une chemise ou d'un blouson, chaque pièce est le reflet d'une conscience. Les accessoires, les parfums, et même les modifications corporelles dans certaines cultures, participent à cette expression de soi. Le style et la mode masculins, bien que souvent relégués au second plan par rapport à la mode féminine, ont toujours eu une présence forte.
Personnellement, je ne perçois aucune différence de valeur entre les deux, car elles appartiennent au même monde de la création et de la ferveur. Cependant, en tant qu'homme et créateur, j'ai une affinité particulière pour la mode masculine. Elle est, à mes yeux, une ligne directrice qui exprime l'homme envers lui-même et sa perception de la femme.
Le style pour homme ne cesse de s'améliorer au fil des époques. Les matériaux, les couleurs et les confections évoluent en fonction de leur utilité et de leur époque. Les périodes de conflit, notamment, ont permis à l'ingéniosité masculine de s'exprimer. Les connaissances et les savoir-faire partagés entre les territoires ont inspiré la mode telle que nous la connaissons aujourd'hui.
De plus, le style masculin est le reflet de l'homme, car il témoigne de la préservation de son corps, de son esprit et de son âme. Cette ferveur est représentée à travers les illustrations, magazines et publications du monde entier.
Pour moi, l'homme est le moteur de l'évolution respectueuse du vêtement. Le simple fait de s'habiller est un acte qui participe au bien-être de l'humanité et de la société. C'est une protection générale contre l'extérieur, et l'histoire en est témoin. La femme, quant à elle, est en devenir dans la direction, la création et l'origine de l'inspiration. Mon souhait est de motiver la femme à créer une identité propre à la mode, car pour l'instant, la création d'une identité, de valeurs et de convictions, pour une ferveur perçue de manière unique, reste majoritairement une œuvre masculine.

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Après la guerre, l'industrie de la mode a évolué. De nouveaux créateurs sont apparus, réharmonisaient la silhouette et laissaient leur empreinte. Ils ont compris qu'une marque ne se résume pas à un vêtement, mais à une histoire. Une histoire portée par la relation avec le public, alimentée par la musique, le cinéma ou la publicité.
Ces créateurs ont su sélectionner des mannequins qui, au-delà de leur métier, partageaient une identité, un état d'esprit et une ambition en harmonie avec la marque. Cette démarche a permis de créer un engouement médiatique, un attachement fort qui a dépassé le simple produit. C'est la preuve que la mode ne peut pas se limiter à l'objet. Elle mérite une relation unique, capable de nourrir tout un monde.
La mode, quel que soit le besoin – qu'il soit lié à une classe sociale, un pouvoir d'achat, une culture ou un groupe – est une industrie quasi infinie. Le vêtement est un besoin de base pour chaque être humain, et lorsqu'une marque offre plus qu'un simple produit, elle devient un outil de protection et de distinction pour celui qui le porte, s'il en a conscience.
Finalement, un seul constat demeure : seul le créateur peut entretenir cette relation. L'avenir de la mode ne réside pas dans la production de masse, mais dans la capacité du créateur à incarner l'authenticité et à maintenir le lien avec sa communauté.
Ma marque, RRSSAO, est une réponse à cet appel. Elle représente le choix d'un cheminement souverain, où la ferveur et l'identité sont au cœur de chaque création.

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L'histoire de la mode a connu des moments d'épreuve, et l'occupation allemande en est un exemple marquant. Ces temps difficiles ont révélé la capacité de l'industrie à s'adapter et à innover, et ont laissé des leçons qui résonnent encore aujourd'hui. Les conséquences de cette période sont encore présentes.
Pendant la guerre, l'économie était instable pour la majorité des ménages. Il était difficile de suivre les tendances et de se permettre d'acheter des vêtements coûteux. C'est à ce moment-là que l'industrie de la mode a fait un bond en avant.
La guerre n'a pas été totalement néfaste. Elle a forcé une prise de conscience sur les méthodes de production. C'est la pénurie de matières premières et la priorité donnée à l'Allemagne qui ont permis l'évolution de la mode. On a vu l'émergence de trois méthodes qui ont contribué à un nouvel état de conscience :
Le recyclage : Les ménages ont commencé à mieux communiquer sur le recyclage des vêtements, ce qui leur a permis de vivre de leur ingéniosité.
La confection artisanale : Le "fait main" a connu un renouveau, permettant aux gens de créer leurs propres vêtements.
Le marché noir : Le marché noir est apparu, mais avec une communication adaptée due au risque élevé et aux prix qui étaient à la hauteur des risques encourus.
Ces méthodes ont été transmises à l'aide de la radio et des moyens de communication de l'époque. Les restrictions n'ont pas empêché les gens de s'habiller et de vivre. Elles ont au contraire poussé l'industrie à se réinventer, ce qui a permis à la France, et surtout à Paris, de rester la capitale de la mode.
Aujourd'hui, les ménages ont la liberté d'acquérir les vêtements qu'ils souhaitent. Mais nous pouvons tirer une leçon de cette période : la créativité et l'ingéniosité naissent souvent dans la difficulté.

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La mode est souvent perçue comme un simple vêtement. Un morceau de tissu pour se couvrir, un style pour se distinguer. Mais pour moi, la mode est bien plus que ça. C'est une relation profonde entre le créateur, sa marque et le client.
Cette conviction est la base de ma marque, RRSSAO. Son nom est la preuve de la ferveur que j'ai pour elle. Il y a un grand nombre de marques qui ont pour nom leur créateur, leur valeur ou leur croyance. Mais en ce jour, l'économie et les finances de la plupart des ménages ne permettent plus de s'offrir des vêtements hors de prix, comme ceux de la haute couture.
Je crois qu'il y a un besoin de créer une marque qui soit consciente de la nécessité de s'habiller. Une marque qui crée un équilibre dans la relation avec le vêtement, qui est l'objet qui protège l'humanité depuis la nuit des temps.
Ma définition d'une marque de vêtements est simple : un signe, un nom, un logo qui représente quelque chose ou quelqu'un. Elle offre une perception propre au style choisi.
Mais cette perception ne se maintient qu'avec le temps, en entretenant l'état de conscience de la clientèle. C'est une identité propre qui nourrit l'ensemble des valeurs au service d'une ferveur, d'une passion, née de la relation avec la marque. Le monde de la mode génère un engouement fort, et il est essentiel de ne pas être trompé par des informations contradictoires.
En tant que créateur, ma marque RRSSAO est un choix de style accessible et en accord avec ma situation. Je me sens appelé dans l'énergie créative qui me rend unique pour ce domaine. C'est pour moi une passion, une ferveur, un état de conscience qui alimente mon travail. La mode a besoin de créateurs qui lui sont entièrement dédiés.

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